Les problèmes de circulation sont dus à un nombre excessif de voitures, non à un manque d'infrastructures (sauf pour les ponts). Pour réduire le nombre de voitures, une seule solution : simplifier l'accès aux centres-villes des différentes communes depuis les zones pavillonnaires (où les bus passent très peu et dont les parcours sont trop longs). Les minivans autonomes à la demande sont une option pour permettre aux gens qui habitent à plus de 2 km de la gare de Melun, mais aussi des autres gares de l'Agglo (Livry-sur-Seine, Le Mée, Vosves...), d'accéder aux centres-villes sans arrêts intermédiaires ni déviations, et surtout sans voiture. Voir ici : https://www.linkedin.com/company/suburvan/

Et si l'on réservait les nouveaux ponts aux transports en commun (et aux vélos) ? Cela évitera que leur construction attire encore plus de voitures, et permettra aux TC et aux vélos d'avoir des temps de trajet plus courts.

Bonjour, et si les voitures respectaient la vitesse autorisée dans Melun. certains axes comme la rue Bancel sont une catastrophe. Des panneaux avertisseurs de vitesse pourraient faire réduire la vitesse aux automobilistes, comme dans certains villages de province. Cela fonctionne très bien. Aussi faire respecter les passages piétons !!

Je pense qu’un pont sur la Seine ne fait que déplacer le problème. La circulation liée à ce pont aurait un impact environnemental nocif sur les zones semi-rurales de l’agglomération en particulier sur la vallée de l’Ecole et le bois de Bréviande. Le trafic serait déplacé vers les villages aux alentours (Boissettes, Boissise, Pringy, Brinville) L’actuel trafic des poids lourds traverse Melun en direction de Fontainebleau. La déviation de circulation par le pont sur la Seine orienterait alors le trafic vers la D 607 et le flot de circulation traverserait le village de Chailly-en-Bière.

Ce pont sur la Seine ne me semble pas correspondre à la l'esprit de la charte du Parc Naturel Régional du Gatinais dont font partie les communes de Pringy, Boissise le Roi, Ponthierry, Chailly en Bière, Villiers en Bière (entre autre). La construction de ce pont serait un "aspirateur" à camions et véhicules donc un acte anti écologique. Chacun à notre niveau, mettons en œuvre les belles paroles de la COP 26 de Glasgow. Néanmoins, le développement économique de notre agglomération est un sujet important mais il y a sans doute d'autres solutions: un téléphérique électrique par exemple.

Toujours rue Bancel, à 23h00, j'appelle la Police Municipale concernant 2 véhicules mal stationnés et qui risquent de mettre en danger la circulation de cette rue qui est déjà coupée en deux suite à des travaux importants en haut de cette rue. Un des plots installé suite à ces travaux a déjà "sauté"...et cela roule toujours aussi vite...Et que la fête continue, puisque même si on appelle, rien ne change ! Dommage que l'on ne puisse pas poster des vidéos...

Je refuse de croire que l'avenir de notre activité économique dépend de la construction d'un pont. Dès lors, il ne s'agit plus d'un problème de circulation mais d'un problème d'attractivité économique : comment construire une offre commerciale qualitative sur le territoire ? Cette question en amène d'autres : Miser sur les centres-villes ? Créer une nouvelle zone commerciale ou un nouveau centre commercial au sein de l'agglomération ? Pour être honnête, en tant que dammarien je trouve l'offre actuelle assez pauvre ; aussi bien au niveau des restaurants (qui ne sont représentés que par des kebabs et autres fast food douteux) que des magasins spécialisés (Où sont les magasins de vêtements ? D'ameublement ? Culturels ? De sport ?). Dommage de devoir faire de la route jusqu'au Carré Sénart ou ailleurs pour avoir accès à une offre plutôt convenable...

C'est non seulement l'avenir économique de l'agglo qu'il faut envisager, mais aussi l'avenir tout court de ses habitants. Certains biens sont précieux et fragiles, mais ils sont un grand atout de notre agglo : les bords de Seine et le bois de Bréviande ; préservons-les ! De plus la zone économique tertiaire appelée à se développer se situe à Dammarie-les-Lys, proche de la gare, et loin de Pringy. Développons les transports à la demande, les transports en commun, les zones de covoiturage, les liaisons douces, le transport fluvial.

Construction d'un nouveau pont Justification: développer l’activité économique. Il est impératif que la croissance économique se fasse en diminuant l’emprunte carbone. Ceci suppose entre autre par une réduction de la consommation de carburant donc diminution des déplacements en véhicule individuel en attendant la relève des véhicules utilisant de l’électricité décarbonée ce qui n’est pas pour demain. Reste donc les transports en commun qu’il faut décarboner, développer et adapter aux besoins et qui ne nécessitent pas de nouvelles voies . Le financement de cette adaptation protègera l’avenir alors que financer un pont et les voies d’accès financerait des projets du passé incompatibles avec la lutte contre le réchauffement climatique donc notre survie.

À certains endroits, le bitume à Melun est en mauvais état (à titre d'exemples, en entrant dans la rue des Fossées, la rue des Trois Moulins ; quand vous abordez la rue Saint Ambroise après avoir traversé la Seine, etc.). Mieux vaut ne pas avoir des suspensions fermes sur votre véhicule. Les nombreuses irrégularités sont aussi préjudiciables pour les 2 roues. En ce qui concerne l'axe en sortie de Melun Nord, compte tenu du fait que les trottoirs sont très larges, il est dommage qu'il n'ait pas été prévu une piste cyclable sur ces vastes espaces piétonniers.

J'habite avenue du Général Leclerc (prolongement de l'avenue Thiers au delà de la gare). Aux heures de pointe, l'avenue du Général Leclerc est complètement saturée par les poids lourds, qui ne représentent pas 10% du trafic, comme on se complaît à le répéter, mais bien 35% en tenant compte de la LONGUEUR DES VÉHICULES. A cela une seule solution : l'interdiction ou la déviation des poids lourds. Et demain ce sera pire encore, car les nouvelles constructions aux alentours de la gare vont induire une multiplication des voitures particulières.

1) il faut distinguer 2 catégories de voies, celles pour lesquelles les communes n'ont pas de pouvoir (Routes nationales dont l'avenue Thiers par exemple) et celles pour lesquelles il existe un pouvoir. Tous les maires de la CAMVS pourraient s'entendre pour limiter le tonnage des poids lourds roulant sur les voies autres que les RN; les voieries seraient en meilleur état, donc moins de travaux, donc moins de dépenses. Naturellement, il faudra s'assurer que cette décision soit respectée. 2) toujours de la responsabilité des élus, indiquer d'une manière plus tangible la vitesse autorisée sur la voie ( un nombre peint sur le bitume au début de chaque rue ne couterait pas très cher) et faire respecter cette limitation de vitesse.